Livres de Rémi

Découvrez un environnement qui vous permettra d’être vous-même au travail comme ailleurs. Découvrez l’aventure de jeunes entrepreneurs québécois, de la maîtrise de leur profession à leur rôle dans le monde. Chez Adecco Québec, les personnes évoluent dans l’estime de soi, dans un bien-être au travail, dans une fierté des résultats.

« Nous avons constaté que chaque point gagné en confiance les uns envers les autres se traduit toujours par un point supplémentaire en marge bénéficiaire. Chaque gain dans l’estime de soi représente à terme un gain financier. Chaque élévation du niveau de bonheur se reflète en élévation du profit ». (Tiré du livre)

Les patrons sont les nouveaux fous du roi. Leur souverain ? L’actionnaire, cet être inconscient et cupide qui exige que ses actions montent en flèche. Pour le satisfaire, les fous licencient, fusionnent, rationalisent, centralisent et décentralisent. Et si les résultats ne sont pas à la hauteur, les fous n’hésitent pas à les maquiller. Il faut rester dans les bonnes grâces du roi !

À 38 ans, Rémi Tremblay dirige les 11 000 employés de la filiale canadienne d’Adecco, la plus grande société de recrutement et de placement de personnel au monde. En janvier 2004, le groupe se retrouve au cœur d’un scandale financier. Encore une fois, le roi a été trop avide. Encore une fois, les fous se sont pliés à ses caprices.

Dans Les fous du roi, Rémi Tremblay lance un cri du cœur. Ses cibles : la tyrannie de l’actionnaire, le manque d’éthique, les patrons qui se servent au lieu de servir. Son rêve : éveiller les consciences, rétablir la confiance, rapprocher les leaders de leurs valeurs profondes.

Presque 20 ans après sa première édition, cet ouvrage troublant, qui place le lecteur face à ses propres contradictions pour l’amener à réfléchir sur sa relation au pouvoir, s’avère toujours aussi pertinent. Après tout, aujourd’hui encore, les fous du roi se retrouvent dans tous les milieux de travail quand la conscience n’est pas au rendez-vous.

Lire ce livre, c’est prendre un risque, celui de se regarder en face pour affronter ses peurs et tenter de s’en libérer.

« Qu’est-ce que la voisine va penser? »; « On l’a déjà essayé. »; « C’était mieux avant. »; « C’est d’même partout ailleurs. »; « Ma pauvre fille… dans quel monde tu vis… »; « Je ne suis pas d’accord. »; « Moi, je suis réaliste! »; « L’argent ne pousse pas dans les arbres… » Pourquoi nous viennent-elles aussi facilement à l’esprit, ces fameuses phrases? Parce que nous avons peur : de l’inconnu, de changer, d’échouer, de perdre, de réussir même! Parce que nous manquons de confiance en nous et dans les autres. Parce que nous sommes paresseux, manquons d’imagination, de curiosité et ne savons pas écouter, regarder et ressentir. Cessons de valoriser l’instantané et laissons tomber le passé pour faire place à l’énergie, la nuance, la passion, la conscience, la foi et l’amour! Ce livre important dévoile l’effet négatif de ces phrases, en apparence anodines sur notre quotidien, et surtout comment les remplacer au moyen d’exemples concrets, beaucoup plus constructifs. En avant, toutes!

​Les meilleurs leaders ne perdent pas de temps à remuer ciel et terre. Ils savent cultiver leur tranquillité intérieure. Ils l’ont appris : plus ils sont tranquilles, plus ils sont performants.
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Que se passe-t-il lorsque votre montre glisse de votre poignet et tombe au fond d’un lac? Vous vous agitez. L’eau se brouille. Vous vous énervez. Vous tombez sur les nerfs de tout le monde! Et s’il suffisait de se calmer, d’attendre que l’eau redevienne limpide pour y voir plus clair?
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La nouvelle édition revue et augmentée de « J’ai perdu ma montre au fond du lac » vous fait explorer les voies du courage, de l’humilité, de l’amour et de la création pour calmer l’ego qui crie en vous et accéder à votre autorité intérieure. Son cadeau ultime : tout plein de clés pour goûter la sérénité et réduire la distance entre ce que vous êtes et ce que vous voudriez être; entre ce que vous faites et ce que vous voudriez faire; entre ce que vous avez et ce que vous voudriez avoir.

L’un a un fils qui combat un problème de toxicomanie, l’autre a un père qui sombre lentement dans l’Alzheimer : les auteurs de ce livre vivent tous les deux une épreuve humaine complexe. Mais ils ont choisi d’accueillir cette souffrance, de l’apprivoiser, d’en tirer des leçons. Ils ont choisi de danser avec la vie. La vie est tellement plus douce quand on danse avec elle!
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Invitant le lecteur sur un chemin où on souffre beaucoup moins et où on goûte davantage au bonheur et à la joie, chaque jour, « La chaise rouge devant le fleuve » aide à composer avec ce qui est et à accepter les autres comme ils sont. Son message ultime : aucune épreuve, même la pire qui soit, ne devrait nous faire oublier que les fleurs, entre temps, continuent de pousser…
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Alors déposez ce sac à dos rempli de peines, de douleurs et de ressentiments. Asseyez-vous dans la chaise rouge et respirez un bon coup. Puis, poursuivez votre route le cœur léger et l’esprit libre, enfin! Nous ne sommes pas que notre souffrance. Nous ne sommes pas que notre passé. Nous sommes tellement plus que ça.

Un livre à quatre mains, à double voix puisqu'il prend la forme de conversations entre le leader et le philosophe. À tour de rôle, Rémi et Jean Proulx s’invitent à dialoguer sur des grandes questions qui les habitent et qui sont des pierres angulaires à la Maison des leaders : silence, contemplation, dépouillement, communion, providence, bien commun, vocation, discernement, foi, sacré, gratitude, célébration.

En douze thèmes et douze chapitres, nous sommes amenés à sonder l’âme humaine avec profondeur et dans la joie de la rencontre, tel que l’indique si bien le sous-titre du livre soit « Petit lexique pour la joie de vivre ». Jean y apporte son immense sagesse et sa grande connaissance de la philosophie et Rémi sa fabuleuse intuition et sa vaste expérience d’entrepreneur. En résulte un livre touchant, profond, qui nous élève.

En parcourant le livre, Serge Marquis a rendu hommage aux auteurs en disant qu’ils étaient « des orfèvres qui ont ciselé le sens ». Un moment de grâce!